L'énoncé
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Question 1
Hobbes, dans le Léviathan, définit la liberté comme correspondant à :
Une absence d’opposition.
Une absence de rationalité.
Une absence de contrainte.
Question 2
La définition que donne Hobbes de la liberté s’applique :
A l’Homme.
Aux créatures inanimées.
Aux êtres non-raisonnables.
Question 3
Ce qui distingue la liberté des anciens et la liberté des modernes selon Benjamin Constant c’est :
L’existence d’une sphère privée.
La nature du régime politique.
La considération de la liberté d’autrui.
Question 4
Les lois de la vie en communauté sont établies pour :
Constituer une hiérarchie entre les individus.
Limiter la liberté d’autrui.
Garantir la sécurité de chacun.
Question 5
La liberté négative correspond à :
L’absence de spontanéité.
L’absence de respect pour la liberté d’autrui.
L’absence d’entraves.
Question 6
La liberté intérieure se définit comme étant :
La liberté de penser ce que l’on veut.
La liberté de vouloir.
La liberté d’agir.
Question 7
Kant démontre que l’on est libre lorsque l’on fait preuve :
D’obéissance.
D’autorité.
De moralité.
Kant montre que la liberté, pour être prouvée, suppose qu’on en passe par le constat de la moralité en l’Homme.
Question 8
Quel philosophe dit du libre-arbitre qu’il n’est qu’illusion ?
Spinoza
Ces trois philosophes mettent en évidence, à des degrés divers, les déterminismes qui pèsent sur l’Homme.
Bourdieu
Freud
Question 9
Bourdieu affirme que :
Des prédispositions génétiques à l’addiction existent.
Le mérite, dans un cadre scolaire, légitime finalement la reproduction sociale.
Bourdieu soutient la thèse d’un déterminisme social à travers son étude du système scolaire républicain qui, contrairement à ce que l’on pourrait penser, maintiendrait ce lien entre origine et position sociales.
L’enfance détermine inconsciemment nos actions et choix futurs.
Question 10
Freud écrit que :
C’est en prenant conscience de ses déterminismes que l’Homme va s’en libérer.
L’Homme choisit totalement son existence et en est pleinement responsable.
Cette position est défendue par Heidegger.
L’Homme n’est pas déterminé, et s’en prétendre comme tel lui permet de ne pas assumer sa liberté
Cette position est défendue par Sartre.
Dans une dictature, l’Homme ne possède qu’une liberté négative : il n’est pas empêché de faire ce que la loi lui permet de faire, mais c’est une liberté définit simplement par cela.