L'énoncé
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Question 1
La Révolution française est une période noire pour la patrimoine.
Oui, car beaucoup de monuments historiques ont été détruits par les révolutionnaires.
Non, car les révolutionnaires ont protégé les monuments nationaux.
A la fois oui et non, car les révolutionnaires se sont attaqués à certains bâtiments mais des politiques de protection ont aussi été mises en place.
Question 2
La Commission des monuments s’est déroulée :
En 1789.
En 1790.
C’est en 1790 qu’a lieu la Commission des monuments, durant laquelle les députés ont créé une loi pour protéger les monuments. Le concept de monument national, encore en vigueur aujourd’hui, va ainsi émerger.
En 1791.
En 1792.
Question 3
Quel personnage du XIXe siècle va s’atteler à l’inventaire des bâtiments en péril ?
François Guizot
Viollet-le-Duc
Alexandre Lenoir
Prosper Mérimée
C’est sous le ministère de François Guizot, ministre de Louis Philippe et historien, qu’est chargé Mérimée de procéder à cet inventaire qui en recensera plus de mille.
Question 4
Que permet la loi de 1913 ?
Elle protège les monuments historiques.
Elle régit l’affichage urbain.
Elle sépare l’Église et l’État.
Elle met en place la Commission des monuments.
Non, la Commission des monuments date de 1790.
Question 5
La France est :
La première destination touristique mondiale.
La France est réputée pour la variété de ses paysages, mais aussi pour son patrimoine naturel et culturel. Protéger et valoriser ces patrimoines représente un enjeu économique essentiel, car elle accueille chaque année près de 90 millions de touristes étrangers.
La deuxième destination touristique mondiale.
Réputée son patrimoine naturel.
Réputée son patrimoine culturel.
Contrairement aux idées reçues, la Révolution française n’a pas fait que détruire et faire table rase du passé. Certes, beaucoup d’actes de vandalisme ont été commis par les révolutionnaires qui ont ressenti le besoin de s’attaquer aux monuments symboles de la monarchie absolue (telle que la forteresse de la Bastille, mais également les archives de la noblesse, symboles des privilèges), mais le nombre de ces exactions est négligeable face aux politiques de protection qui ont été mises en place dès cette époque.