1
Video
Parler de soi pour parler de tous : introspection et révélation universelle
2
Exercice
QCM - Parler de soi pour parler de tous : introspection et révélation universelle
3
Video
Transfigurer le réel
4
Exercice
QCM - Transfigurer le réel
5
Video
Explorer et renouveler le langage
6
Video
Prendre position pour honorer ou condamner
7
Exercice
QCM - Explorer et renouveler le langage & prendre position
L'énoncé
Regarde la vidéo associée puis réponds aux questions en cochant une réponse par question.
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Question 1
Quel registre est mis en avant lorsque le poète parle de lui (introspection) ?
Registre pathétique.
Registre tragique.
Registre lyrique.
Ce registre est marqué par l'emploi de la première personne du singulier, le vocabulaire des émotions et des sentiments, la ponctuation expressive…
Question 2
Pourquoi dit-on que le poète transforme son expérience personnelle en révélation universelle ?
Car son statut de poète lui permet de faire partager à tous les lecteurs des sentiments qu'eux-mêmes peuvent éprouver.
Car la réflexion du poète est d’abord personnelle et devient ensuite universelle grâce à sa connaissance du monde.
Car au début des recueils, peu de lecteurs sont capables de comprendre le poète, puis au fil des poèmes, ils ont une révélation qui leur permet d'accéder à une expérience poétique.
Il s'agit d'une relation entre le poète et le monde qui l'entoure.
Question 3
Quel est l'extrait de poème écrit par Hugo dans Les Feuilles d'automne ?
« Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l'Inconsolé,
Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, - et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie. »
Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, - et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie. »
Non, il s'agit d'un poème de Gérard de Nerval.
« Mais moi, sous chaque jour courbant plus bas ma tête,
Je passe, et refroidi sous ce soleil joyeux,
Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête,
Sans que rien manque au monde, immense et radieux ! »
Je passe, et refroidi sous ce soleil joyeux,
Je m'en irai bientôt, au milieu de la fête,
Sans que rien manque au monde, immense et radieux ! »
« Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon cœur
D'une langueur
Monotone. »
Des violons
De l'automne
Blessent mon cœur
D'une langueur
Monotone. »
Non, il s'agit d'un poème de Paul Verlaine.
Dans ce poème, Hugo se met en scène en opposant le caractère fragile de la vie face à la force de la nature.